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«Beatles ’64»: Quand la Beatlemania a frappé l'Amérique

Le film produit par Martin Scorsese présente des séquences inédites des frères Maysles et de nouvelles entrevues de Paul McCartney et Ringo Starr

«Beatles ’64»: Quand la Beatlemania a frappé l'Amérique

Ceci est la traduction adaptée d’un article de Daniel Kreps, originalement publié par Rolling Stone le 14 novembre 2024. Nous republions l'article originalement intitulé 'Beatles '64' : Beatlemania Hits America in New Trailer for Disney+ Documentary avec la permission de son auteur. Notez que certaines subtilités et nuances peuvent différer de la version originale.

La période où la Beatlemania a atteint l'Amérique du Nord pour la première fois est immortalisée dans un nouveau documentaire de Disney+ produit par Martin Scorsese.


Beatles ’64, qui sera mis en ligne sur la plateforme le 29 novembre, présente des images inédites des Beatles lors de leur arrivée aux États-Unis sous une ferveur sans précédent en février 1964, ainsi que de nouvelles entrevues de Paul McCartney et Ringo Starr.

«C’était comme être au centre d’un ouragan», dit John Lennon à propos de la Beatlemania dans une entrevue d'archives présentée dans la bande-annonce. «Ça nous arrivait, mais c’était difficile à percevoir.»

George Harrison ajoute : «Nous étions plutôt normaux et le reste du monde était fou. Tout le monde est entré dans la folie quand les Beatles sont arrivés en ville.»

«Dès l’instant où ils ont atterri à l’aéroport Kennedy, accueillis par des milliers de fans, la Beatlemania a envahi New York et tout le pays, a déclaré Disney+ à propos du documentaire. Leur performance palpitante lors de leurs débuts au Ed Sullivan Show a captivé plus de 73 millions de téléspectateurs, l'événement télévisé le plus regardé de son époque. Beatles ’64 présente ce spectacle, mais raconte aussi une histoire plus intime en coulisses, capturant la camaraderie de John, Paul, George et Ringo alors qu'ils vivaient une célébrité inimaginable.»

Beatles ’64 inclut des séquences nouvellement découvertes du Fab Four filmées par le duo légendaire de documentaristes Albert et David Maysles, ainsi que des images de concert de leur première représentation aux États-Unis, à Washington. Les studios WingNut de Peter Jackson, qui ont également remastérisé les séquences vues dans le documentaire des Beatles Get Back, ont travaillé sur ces images.

Le documentaire a été réalisé par David Tedeschi et produit par Martin Scorsese, Margaret Bodde, Paul McCartney, Ringo Starr, Olivia Harrison, Sean Ono Lennon, Jonathan Clyde et Mikaela Beardsley, avec Jeff Jones et Rick Yorn en tant que producteurs exécutifs.

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Ozzy Osbourne, légende singulière du métal dont le groupe Black Sabbath a pratiquement inventé le heavy metal, et qui est par la suite devenu une figure de la téléréalité, est décédé mardi à l’âge de 76 ans.

La famille d’Osbourne a confirmé son décès dans un communiqué: «C’est avec une tristesse indescriptible que nous vous annonçons que notre bien-aimé Ozzy Osbourne est décédé ce matin. Il était entouré de sa famille et d’amour. Nous demandons à tous de respecter notre intimité en cette période difficile.»

Aucune cause exacte de décès n’a été donnée, bien qu’Osbourne ait souffert de nombreux problèmes de santé ces dernières années, notamment la maladie de Parkinson et des blessures subies lors d’une chute nocturne en 2019.

Le chanteur avait une présence scénique électrisante et imprévisible, ainsi qu’un sens de l’humour sec qui lui a valu l’affection de hordes de fans. Son énergie fébrile a contribué à transformer les hymnes qu’il chantait — Iron Man, Paranoid et Crazy Train — en incontournables des stades. Membre fondateur de Black Sabbath, il a contribué à établir les fondations du heavy metal, tout en restant humble quant à sa place dans l’histoire de la musique. Il connaissait ses limites, parlait ouvertement de ses dépendances, et cherchait toujours à s’améliorer. Il incarnait l’outsider pour qui tout le monde voulait prendre parti.

En tant que prophète de l’apocalypse chez Black Sabbath, Osbourne savait évoquer une véritable terreur dans ses cris perçants, ce qui amplifiait la puissance des lamentations lourdes du groupe. Lorsqu’il hurlait «What is this that stands before me, figure in black which points at me?» dans Black Sabbath, c’était une performance digne d’un film d’horreur. Il chantait Iron Man, récit d’un golem trahi en quête de vengeance, avec une fureur crédible. Et lorsqu’il hurlait «Dreams turn to nightmares, Heaven turns to Hell» dans Sabbath Bloody Sabbath, c’était avec une rage démoniaque que même Milton n’aurait su évoquer. Il donnait un sens à la lourdeur surnaturelle du groupe et l’ancrait dans le réel d’une façon qui a résonné chez des millions de personnes depuis des décennies.

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Le hic? Cette chanson-là, ce n’était pas lui. Et ça, Craig McDonald le jure. Représentant du catalogue de Foley chez Lost Art Records, il assure n’avoir jamais autorisé l’ajout de ce morceau ni de sa pochette, une image visiblement générée par intelligence artificielle, montrant un pseudo-Blaze chantant au micro, sans aucune ressemblance avec l’original. «Je peux clairement vous dire que cette chanson n’est pas de Blaze, ce n’est même pas proche du style de Blaze, du tout. C’est un ‘schlock bot’ d’IA, si on peut dire ça comme ça», a-t-il lâché à 404 Media, le média qui a révélé la supercherie.

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