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Muhoza et sa troupe remportent la 29e édition des Francouvertes

Leone Volta et Kat Pereira se classent respectivement en deuxième et troisième positions

Muhoza et sa troupe remportent la 29e édition des Francouvertes

Le verdict est tombé lundi soir au Club Soda : Muhoza et sa troupe ont été couronnés grands vainqueurs de la 29e édition des Francouvertes grâce à leur rap mélodieux aux accents de jazz sur fond de textes bruts et poignants.

Leone Volta, dont la musique verse dans le pop-rock atmosphérique, est arrivé deuxième, tandis que Kat Pereira et sa pop-soul rythmée se sont mérités la troisième position de ce concours-vitrine incontournable du milieu de la musique.


Les trois finalistes se sont produits pour une dernière fois lundi soir lors de la grande finale des Francouvertes, qui a eu lieu au Club Soda. La soirée, animée par la journaliste culturelle Élise Jetté, a aussi donné lieu à des performances de Kanen et Alex Burger, porte-paroles de cette édition.

L’issue du concours été déterminé à moitié par le vote du public et à moitié par le jury, qui était formé cette année de Stéphanie Boulay (autrice-compositrice-interprète), Marc-André Mongrain (Sors-tu.ca), Alixe Hennessey Dubuc (SODEC), Marc-André Pilon (SiriusXM), Noémie Laniel (Coup de cœur francophone), Mathieu Rousseau (Francos de Montréal) et Pierre-Philippe Côté (auteur-compositeur-interprète).

Muhoza et sa troupe se méritent ainsi une bourse de 15 000$, 20 heures d’enregistrement au Studio Dandurand ainsi que de nombreux outils et accompagnements fort utiles aux artistes en début de carrière. La formation se produira aussi durant l’été aux Jardins Gamelin, au centre-ville de Montréal.

Depuis bientôt 30 ans, les Francouvertes font office de tremplin pour la relève musicale du Québec. Parmi les lauréats des précédentes éditions, figurent plusieurs artistes établis, dont Damien Robitaille, Les Hay Babies, Philippe Brach, Jeanne Côté et Soleil Launière.

Plus de détails suivront

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Ozzy Osbourne, légende singulière du métal dont le groupe Black Sabbath a pratiquement inventé le heavy metal, et qui est par la suite devenu une figure de la téléréalité, est décédé mardi à l’âge de 76 ans.

La famille d’Osbourne a confirmé son décès dans un communiqué: «C’est avec une tristesse indescriptible que nous vous annonçons que notre bien-aimé Ozzy Osbourne est décédé ce matin. Il était entouré de sa famille et d’amour. Nous demandons à tous de respecter notre intimité en cette période difficile.»

Aucune cause exacte de décès n’a été donnée, bien qu’Osbourne ait souffert de nombreux problèmes de santé ces dernières années, notamment la maladie de Parkinson et des blessures subies lors d’une chute nocturne en 2019.

Le chanteur avait une présence scénique électrisante et imprévisible, ainsi qu’un sens de l’humour sec qui lui a valu l’affection de hordes de fans. Son énergie fébrile a contribué à transformer les hymnes qu’il chantait — Iron Man, Paranoid et Crazy Train — en incontournables des stades. Membre fondateur de Black Sabbath, il a contribué à établir les fondations du heavy metal, tout en restant humble quant à sa place dans l’histoire de la musique. Il connaissait ses limites, parlait ouvertement de ses dépendances, et cherchait toujours à s’améliorer. Il incarnait l’outsider pour qui tout le monde voulait prendre parti.

En tant que prophète de l’apocalypse chez Black Sabbath, Osbourne savait évoquer une véritable terreur dans ses cris perçants, ce qui amplifiait la puissance des lamentations lourdes du groupe. Lorsqu’il hurlait «What is this that stands before me, figure in black which points at me?» dans Black Sabbath, c’était une performance digne d’un film d’horreur. Il chantait Iron Man, récit d’un golem trahi en quête de vengeance, avec une fureur crédible. Et lorsqu’il hurlait «Dreams turn to nightmares, Heaven turns to Hell» dans Sabbath Bloody Sabbath, c’était avec une rage démoniaque que même Milton n’aurait su évoquer. Il donnait un sens à la lourdeur surnaturelle du groupe et l’ancrait dans le réel d’une façon qui a résonné chez des millions de personnes depuis des décennies.

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