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Festival d'été de Québec 2025: Rod Stewart, Shania Twain, Avril Lavigne et bien d'autres

Le festival emblématique de la Capitale vient de dévoiler sa programmation, avec une liste d'artistes variée et éclectique.

Festival d'été de Québec 2025: Rod Stewart, Shania Twain, Avril Lavigne et bien d'autres

Le Festival d’été de Québec vient tout juste d’annoncer la programmation de sa 57e édition. Fidèle à ses habitudes, l’équipe du festival et de BleuFeu ont vu grand, et ont réunis un mélange riche et éclectique d’artistes d’ici et d’ailleurs, de superstars mondiales et de talents émergents.

Les Plaines d'Abraham seront notamment le théâtre de performances majeures. Rod Stewart inaugurera les festivités le 4 juillet avec ses plus grands classiques, tels que Maggie May et Da Ya Think I’m Sexy?.


Le lendemain, une soirée résolument pop punk réunira Simple Plan et Avril Lavigne, qui devrait ravir la génération MySpace. Def Leppard prendra le relais le 7 juillet, avec April Wine en première partie, pour une grande soirée de hard rock classique. L’icône de la musique country-pop Shania Twain clôturera la soirée du samedi 12 juillet avec certains de ses plus grands succès comme Man! I Feel Like a Woman! et That Don’t Impress Me Much.

Le festival fait aussi la part belle au rock alternatif et au métal. Slayer et Mastodon seront à l'affiche le 10 juillet pour une soirée décapante. Le lendemain, 11 juillet, The Pixies viendront régaler les fans d’indie-rock des ‘90s.

La pop grand public sera aussi à l’honneur sur la scène principale. Le 6 juillet, Benson Boone et Remi Wolf prendront d’assaut la scène. Le 9 juillet, c’est le crooner irlandais Hozier, avec sa voix puissante, qui apportera une ambiance plus feutrée et introspective. L’auteur de Take Me to Church et Movement est reconnu pour ses performances captivantes et son style unique de folk rock. Plusieurs artistes québécois seront également de la partie, comme Chiara Savasta le 5 juillet ou le résident de Québec, Julyan, le 6 juillet.

La scène rap et hip-hop sera elle aussi bien représentée. Bigflo & Oli, accompagnés de Fredz et Sarahmée, se produiront le 10 juillet. Le duo toulousain, connu pour ses textes engagés et sa proximité avec son public, promet une performance survoltée. Ice Spice, l’une des rappeuses les plus en vue du moment, sera sur scène le 12 juillet, de quoi combler les festivaliers de la génération Z.

La musique électronique aura quant à elle une place de choix avec plusieurs grands noms du genre. Le 11 juillet, Kygo transformera les Plaines en une gigantesque piste de danse avec ses hits EDM aux influences tropicales. Le 12 juillet, c’est le légendaire DJ et producteur français Bob Sinclar qui mettra le feu à la Place George-V avec ses mélodies accrocheuses qui font danser toute la planète depuis plus de 20 ans.

Les musiques du monde et les sonorités festives ne seront pas en reste. Le 8 juillet, Salebarbes apportera son énergie festive typiquement acadienne, tandis que le 13 juillet, la superstar de Puerto Rico, Farruko et la légende locale Cruzito feront danser la foule sur des rythmes latins. Le 9 juillet, la ville de Québec accueillera Sean Paul et Protoje, deux artistes phares de la Jamaïque, qui amèneront avec eux soleil et good vibes. Pour ceux qui apprécient les musiques festives aux multiples influences, le groupe australien The Cat Empire seront de retour le 5 juillet, alors que The Lemon Bucket Orkestra et le Melbourne Ska Orchestra se produiront respectivement les 10 et 12 juillet.

Le festival mettra également en avant la scène locale et des spectacles hommages. Roch Voisine sera en concert le 11 juillet, un rendez-vous incontournable pour les amateurs de chanson francophone. Enfin, le 13 juillet, le spectacle D'eux, 30 déjà : Célébrons Céline! viendra clôturer l’événement avec un hommage à l’une des plus grandes voix de la musique québécoise.

La prévente des passes du festival a prouvé l’engouement qu’ont les Québécois pour ce festival incontournable: plus de 20 000 places ont été épuisées en moins d’une vingtaine de minutes alors que la programmation n’avait même pas encore été annoncée.

Pour consulter la programmation complète et vous procurer des places, visitez le site web officiel du Festival d’été de Québec.

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Ozzy Osbourne, légende singulière du métal dont le groupe Black Sabbath a pratiquement inventé le heavy metal, et qui est par la suite devenu une figure de la téléréalité, est décédé mardi à l’âge de 76 ans.

La famille d’Osbourne a confirmé son décès dans un communiqué: «C’est avec une tristesse indescriptible que nous vous annonçons que notre bien-aimé Ozzy Osbourne est décédé ce matin. Il était entouré de sa famille et d’amour. Nous demandons à tous de respecter notre intimité en cette période difficile.»

Aucune cause exacte de décès n’a été donnée, bien qu’Osbourne ait souffert de nombreux problèmes de santé ces dernières années, notamment la maladie de Parkinson et des blessures subies lors d’une chute nocturne en 2019.

Le chanteur avait une présence scénique électrisante et imprévisible, ainsi qu’un sens de l’humour sec qui lui a valu l’affection de hordes de fans. Son énergie fébrile a contribué à transformer les hymnes qu’il chantait — Iron Man, Paranoid et Crazy Train — en incontournables des stades. Membre fondateur de Black Sabbath, il a contribué à établir les fondations du heavy metal, tout en restant humble quant à sa place dans l’histoire de la musique. Il connaissait ses limites, parlait ouvertement de ses dépendances, et cherchait toujours à s’améliorer. Il incarnait l’outsider pour qui tout le monde voulait prendre parti.

En tant que prophète de l’apocalypse chez Black Sabbath, Osbourne savait évoquer une véritable terreur dans ses cris perçants, ce qui amplifiait la puissance des lamentations lourdes du groupe. Lorsqu’il hurlait «What is this that stands before me, figure in black which points at me?» dans Black Sabbath, c’était une performance digne d’un film d’horreur. Il chantait Iron Man, récit d’un golem trahi en quête de vengeance, avec une fureur crédible. Et lorsqu’il hurlait «Dreams turn to nightmares, Heaven turns to Hell» dans Sabbath Bloody Sabbath, c’était avec une rage démoniaque que même Milton n’aurait su évoquer. Il donnait un sens à la lourdeur surnaturelle du groupe et l’ancrait dans le réel d’une façon qui a résonné chez des millions de personnes depuis des décennies.

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