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De plus en plus de Swifties aux concerts de The National

Les récentes collaborations de Taylor Swift avec Aaron Dessner de The National ont élargi et diversifié leur public, qui était jadis un «festival de dudes», selon le chanteur Matt Berninger.

De plus en plus de Swifties aux concerts de The National

Taylor Swift sur scène

Cet article est la traduction d'un texte de Larisha Paul originalement publiée dans Rolling Stone le 3 juillet 2024. Nous republions l'article originalement intitulé The National Have Noticed Some 'Bewildered' Taylow Swift Fans (and Way more Women) at Their Shows avec la permission de son autrice. Notez que certaines subtilités et nuances peuvent différer de la version originale.

La collaboration entre Taylor Swift et Aaron Dessner a mené certains Swifties à sauter directement de la méga tournée Eras aux concerts de The National. Le duo a commencé à collaborer sur Folklore en 2020, album qui met en vedette le musicien du groupe sur près d'une douzaine de chansons. Plus récemment, ils ont travaillé ensemble sur certains morceaux de l’album The Tortured Poets Department. C’est dans ce contexte que le leader de The National, Matt Berninger, a remarqué un afflux de fans perplexes – et de beaucoup plus de femmes – aux spectacles de son groupe.


«Nous voyons beaucoup de fans de Taylor Swift à nos concerts qui semblent déconcertés pendant les 25 premières minutes, environ, a-t-il récemment déclaré à NME. Il y a 10 ou 15 ans de cela, de plus en plus de jeunes ont commencé à venir [à nos spectacles] – dont de plus en plus de femmes. Mais durant nos dix premières années, la plupart de nos concerts étaient un festival de dudes. Heureusement, ça a beaucoup changé.»

Berninger en a profité pour faire taire les rumeurs comme quoi Swift pourrait faire une apparition surprise à un de leurs concerts ou encore que le groupe entier apparaîtrait à l'un des siens. Cela étant dit, il assure être très heureux de leur connexion musicale. «Cette collaboration est géniale, elle a été vraiment, vraiment fructueuse pour tout notre groupe, pas seulement pour Aaron, a-t-il dit. Évidemment, Aaron adore créer toutes ces bonnes chansons avec elle, mais non, nous ne partagerons pas la scène.»

Dessner a tout de même fait quelques apparitions solos lors de la tournée Eras. En avril dernier, il a rejoint Taylor Swift à Tampa pour interpréter le titre bonus de Midnights, The Great War. Il est revenu le lendemain pour jouer Mad Woman de l’album Folklore. En mai dernier, à Nashville, ils ont joué ensemble Would’ve, Could’ve, Should’ve sous une pluie battante. Le musicien l’a également accompagné pour des performances de Seven et Right Where You Left Me.

«Jamais dans mes rêves les plus fous je n'aurais imaginé jouer une chanson devant 80 000 personnes à la guitare acoustique avec @taylorswift, a partagé Dessner sur Instagram après une de ses apparitions. Je suis éternellement reconnaissant pour toute la musique que nous avons créée ensemble et pour ton amitié.»

The National sera en spectacle le 19 septembre prochain à la Place Bell, à Laval, avec The War On Drugs.

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Ozzy Osbourne, légende singulière du métal dont le groupe Black Sabbath a pratiquement inventé le heavy metal, et qui est par la suite devenu une figure de la téléréalité, est décédé mardi à l’âge de 76 ans.

La famille d’Osbourne a confirmé son décès dans un communiqué: «C’est avec une tristesse indescriptible que nous vous annonçons que notre bien-aimé Ozzy Osbourne est décédé ce matin. Il était entouré de sa famille et d’amour. Nous demandons à tous de respecter notre intimité en cette période difficile.»

Aucune cause exacte de décès n’a été donnée, bien qu’Osbourne ait souffert de nombreux problèmes de santé ces dernières années, notamment la maladie de Parkinson et des blessures subies lors d’une chute nocturne en 2019.

Le chanteur avait une présence scénique électrisante et imprévisible, ainsi qu’un sens de l’humour sec qui lui a valu l’affection de hordes de fans. Son énergie fébrile a contribué à transformer les hymnes qu’il chantait — Iron Man, Paranoid et Crazy Train — en incontournables des stades. Membre fondateur de Black Sabbath, il a contribué à établir les fondations du heavy metal, tout en restant humble quant à sa place dans l’histoire de la musique. Il connaissait ses limites, parlait ouvertement de ses dépendances, et cherchait toujours à s’améliorer. Il incarnait l’outsider pour qui tout le monde voulait prendre parti.

En tant que prophète de l’apocalypse chez Black Sabbath, Osbourne savait évoquer une véritable terreur dans ses cris perçants, ce qui amplifiait la puissance des lamentations lourdes du groupe. Lorsqu’il hurlait «What is this that stands before me, figure in black which points at me?» dans Black Sabbath, c’était une performance digne d’un film d’horreur. Il chantait Iron Man, récit d’un golem trahi en quête de vengeance, avec une fureur crédible. Et lorsqu’il hurlait «Dreams turn to nightmares, Heaven turns to Hell» dans Sabbath Bloody Sabbath, c’était avec une rage démoniaque que même Milton n’aurait su évoquer. Il donnait un sens à la lourdeur surnaturelle du groupe et l’ancrait dans le réel d’une façon qui a résonné chez des millions de personnes depuis des décennies.

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