Ceci est la traduction adaptée d’un article de Larisha Paul, originalement publié par Rolling Stone le 5 août 2025. Nous republions l'article originalement intitulé Justin Bieber Clears His Mind With a Family Vacation in ‘Yukon’ Video avec la permission de son autrice. Notez que certaines subtilités et nuances peuvent différer de la version originale.
Justin Bieber délaisse les rues urbaines qu’il arpentait dans Yukon pour une escapade côtière dans le vidéoclip en noir et blanc de ce single, tiré de son nouvel album, Swag. Réalisé par Cole Bennett, le clip montre le chanteur se prélasser au soleil sur un yacht luxueux en compagnie de son épouse Hailey Bieber et de leur fils d’un an, Jack Blues Bieber.
Bieber laisse entendre que le travail derrière cette sortie musicale est désormais chose du passé et que le reste ne sera que plaisir. Il danse avec aisance sur la chanson, fait un doigt d’honneur en surfant sur une mer calme et couvre le visage de son fils de baisers.
«Il y a beaucoup de guérison dans cet album», écrit Rob Sheffield dans sa critique de Swag pour Rolling Stone, en ajoutant que «s’il voulait répondre aux “mais qu’est-ce qui lui arrive, à ce gars-là?” dans les manchettes, il aurait difficilement pu mieux faire que Swag, parce que l’énergie et l’inventivité musicale qu’on y retrouve montrent un Bieber au sommet de sa confiance.»
Yukon et d’autres pièces de l’album rappellent le désir de longue date de Bieber que sa musique soit perçue à travers le prisme du R&B, plutôt que d’être automatiquement rangée dans la pop, simplement parce que c’est dans ce genre qu’il s'est démarqué au départ. Dans la dernière scène du vidéoclip, la production est créditée à Sir Dylan, Carter Lang et Daniel Chetrit.
Une source proche du musicien a récemment confié à Rolling Stone: «Avoir une liberté créative totale est malheureusement quelque chose de nouveau pour lui comme artiste. Ne pas avoir à se soucier de créer le single ou l’album parfait lui a permis d’offrir le meilleur corpus musical de sa carrière.»
«Il a pu être pleinement lui-même, sans aucune influence extérieure cherchant à le faire changer de cap. C’est la version la plus pure de Justin qu’on ait entendue jusqu’ici. C’est la première fois de sa carrière qu’il dispose d’une liberté créative totale, et c’est ce qui rend cette musique aussi honnête et vulnérable.»