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Bibi Club, Lou-Adriane Cassidy et Marie Davidson nommés sur la courte liste du prix Polaris

Six des dix albums retenus sont d’artistes établis au Québec

Bibi Club, Lou-Adriane Cassidy et Marie Davidson nommés sur la courte liste du prix Polaris

Les dix albums retenus sur la courte liste du prix Polaris 2025 sont enfin connus. On y retrouve les œuvres de plusieurs artistes établis au Québec, notamment Feu de garde de Bibi Club, Journal d’un loup-garou de Lou-Adriane Cassidy, City of Clowns de Marie Davidson, All Cylinders d’Yves Jarvis, Maintenant Jamais de Population II et Bite Down de Ribbon Skirt.

SAYA de Saya Gray, Dunya de Mustafa, Verbathim de Nemahsis et SORRY, IT'S OVER de The OBGMs, complètent la liste.


Il s’agit d’une deuxième nomination sur la courte liste du Polaris pour Marie Davidson, Mustafa et The OBGMs. Les sept autres finalistes y figurent pour la première fois. Aucun d’entre eux n’a déjà remporté cet honneur par le passé.

Les albums Oiseau de nuit d’Antoine Corriveau, Abracadabra de Klô Pelgag, Only Dust Remains de Backxwash, Equus Asinus de Men I Trust, Mayday de Myriam Gendron, Dogue d’Ariane Roy, Choses Sauvages III de Choses Sauvages, Nouveau langage de N NAO, Basia’s Palace de Basia Bulat, Blurring Time de Bells Larsen et Sewaside III de Mike Shabb, qui figuraient sur la longue liste, n’ont pas été retenus par le jury, formé de plus de 200 journalistes, critiques et représentants de l’industrie de la musique en provenance de partout au Canada.

L’album gagnant sera annoncé le 16 septembre lors d’une remise de prix qui aura lieu au Massey Hall, à Toronto. Il sera choisi par un grand jury composé de 11 membres sélectionnés au sein du jury élargi. Le seul critère qui compte pour déterminer le choix final est le mérite artistique.

Le lauréat du nouveau Prix de la chanson SOCAN Polaris, assorti d’une bourse de 10 000$, sera aussi annoncé lors de cet événement.

L’artiste qui remporta le Polaris 2025 se méritera une bourse de 30 000$, montant qui était de 50 000$ lors des éditions précédentes.

Ces dernières années, Jeremy Dutcher, Debby Friday, Pierre Kwenders, Cadence Weapon, Backxwash et Haviah Mighty ont remporté ce prestigieux honneur.


Voici les 10 albums nommés sur la courte liste du prix Polaris

Bibi Club – Feu de garde

Lou-Adriane Cassidy – Journal d’un loup-garou

Marie Davidson – City Of Clowns

Saya Gray – SAYA

Yves Jarvis – All Cylinders

Mustafa – Dunya

Nemahsis – Verbathim

The OBGMs – SORRY, IT'S OVER

Population II – Maintenant Jamais

Ribbon Skirt – Bite Down

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La famille d’Osbourne a confirmé son décès dans un communiqué: «C’est avec une tristesse indescriptible que nous vous annonçons que notre bien-aimé Ozzy Osbourne est décédé ce matin. Il était entouré de sa famille et d’amour. Nous demandons à tous de respecter notre intimité en cette période difficile.»

Aucune cause exacte de décès n’a été donnée, bien qu’Osbourne ait souffert de nombreux problèmes de santé ces dernières années, notamment la maladie de Parkinson et des blessures subies lors d’une chute nocturne en 2019.

Le chanteur avait une présence scénique électrisante et imprévisible, ainsi qu’un sens de l’humour sec qui lui a valu l’affection de hordes de fans. Son énergie fébrile a contribué à transformer les hymnes qu’il chantait — Iron Man, Paranoid et Crazy Train — en incontournables des stades. Membre fondateur de Black Sabbath, il a contribué à établir les fondations du heavy metal, tout en restant humble quant à sa place dans l’histoire de la musique. Il connaissait ses limites, parlait ouvertement de ses dépendances, et cherchait toujours à s’améliorer. Il incarnait l’outsider pour qui tout le monde voulait prendre parti.

En tant que prophète de l’apocalypse chez Black Sabbath, Osbourne savait évoquer une véritable terreur dans ses cris perçants, ce qui amplifiait la puissance des lamentations lourdes du groupe. Lorsqu’il hurlait «What is this that stands before me, figure in black which points at me?» dans Black Sabbath, c’était une performance digne d’un film d’horreur. Il chantait Iron Man, récit d’un golem trahi en quête de vengeance, avec une fureur crédible. Et lorsqu’il hurlait «Dreams turn to nightmares, Heaven turns to Hell» dans Sabbath Bloody Sabbath, c’était avec une rage démoniaque que même Milton n’aurait su évoquer. Il donnait un sens à la lourdeur surnaturelle du groupe et l’ancrait dans le réel d’une façon qui a résonné chez des millions de personnes depuis des décennies.

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