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Lil Nas X hospitalisé après avoir souffert d’une paralysie faciale partielle

Le lauréat d’un Grammy n’a pas encore révélé la cause de l’incident

Lil Nas X hospitalisé après avoir souffert d’une paralysie faciale partielle
Archives Rolling Stone

Ceci est la traduction adaptée d’un article de Brittany Spanos publié par Rolling Stone le 15 avril 2025. Nous republions l'article originalement intitulé Lil Nas X Hospitalized After Suffering Partial Facial Paralysis avec la permission de son autrice. Notez que certaines subtilités et nuances peuvent différer de la version originale.

Lil Nas X a révélé qu’il souffrait d’un mystérieux cas de paralysie faciale partielle, publiant lundi une vidéo depuis un lit d’hôpital après que la condition l’a poussé à consulter. Le rappeur n’a pas encore révélé ce qui a causé l’incident.


Dans la vidéo originale partagée à ses 10 millions d’abonnés, Lil Nas X est resté positif face à l’épreuve, plaisantant et montrant comment la moitié de son visage était devenue immobile. «Je n’arrive même pas à rire correctement, bro», a-t-il dit en affichant un sourire asymétrique. Il a montré davantage sa paralysie dans sa story Instagram. Plus tard dans la soirée, il a demandé à ses fans : «Arrêtez d’être tristes pour moi! Remuez plutôt vos fesses pour moi!»

Mardi matin, le chanteur de 26 ans a révélé qu’il était déjà de retour chez lui et qu’il avait retrouvé une certaine mobilité du côté droit de son visage, en particulier dans la partie inférieure. «Cet œil droit garde un œil sur Selen-er. Il s’en fout complètement», a-t-il plaisanté, faisant référence au couplet de Nicki Minaj dans Beauty and a Beat de Justin Bieber.

Avant cet incident médical, Lil Nas X était en pleine promotion de son deuxième album, Dreamboy. Bien qu’il n’ait pas encore annoncé de date de sortie officielle, il publie régulièrement de nouvelles chansons et vidéos. En novembre, il a officiellement lancé cette nouvelle ère avec les extraits Light Again et Need Dat Boy. Plus récemment, il a dévoilé la chanson Hotbox. Cet été, il est prévu qu’il soit l’une des têtes d’affiche du Outloud Festival, un festival annuel célébrant le Mois des Fiertés à Los Angeles, aux côtés de Lizzo et Kim Petras.

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Ozzy Osbourne, légende singulière du métal dont le groupe Black Sabbath a pratiquement inventé le heavy metal, et qui est par la suite devenu une figure de la téléréalité, est décédé mardi à l’âge de 76 ans.

La famille d’Osbourne a confirmé son décès dans un communiqué: «C’est avec une tristesse indescriptible que nous vous annonçons que notre bien-aimé Ozzy Osbourne est décédé ce matin. Il était entouré de sa famille et d’amour. Nous demandons à tous de respecter notre intimité en cette période difficile.»

Aucune cause exacte de décès n’a été donnée, bien qu’Osbourne ait souffert de nombreux problèmes de santé ces dernières années, notamment la maladie de Parkinson et des blessures subies lors d’une chute nocturne en 2019.

Le chanteur avait une présence scénique électrisante et imprévisible, ainsi qu’un sens de l’humour sec qui lui a valu l’affection de hordes de fans. Son énergie fébrile a contribué à transformer les hymnes qu’il chantait — Iron Man, Paranoid et Crazy Train — en incontournables des stades. Membre fondateur de Black Sabbath, il a contribué à établir les fondations du heavy metal, tout en restant humble quant à sa place dans l’histoire de la musique. Il connaissait ses limites, parlait ouvertement de ses dépendances, et cherchait toujours à s’améliorer. Il incarnait l’outsider pour qui tout le monde voulait prendre parti.

En tant que prophète de l’apocalypse chez Black Sabbath, Osbourne savait évoquer une véritable terreur dans ses cris perçants, ce qui amplifiait la puissance des lamentations lourdes du groupe. Lorsqu’il hurlait «What is this that stands before me, figure in black which points at me?» dans Black Sabbath, c’était une performance digne d’un film d’horreur. Il chantait Iron Man, récit d’un golem trahi en quête de vengeance, avec une fureur crédible. Et lorsqu’il hurlait «Dreams turn to nightmares, Heaven turns to Hell» dans Sabbath Bloody Sabbath, c’était avec une rage démoniaque que même Milton n’aurait su évoquer. Il donnait un sens à la lourdeur surnaturelle du groupe et l’ancrait dans le réel d’une façon qui a résonné chez des millions de personnes depuis des décennies.

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Le hic? Cette chanson-là, ce n’était pas lui. Et ça, Craig McDonald le jure. Représentant du catalogue de Foley chez Lost Art Records, il assure n’avoir jamais autorisé l’ajout de ce morceau ni de sa pochette, une image visiblement générée par intelligence artificielle, montrant un pseudo-Blaze chantant au micro, sans aucune ressemblance avec l’original. «Je peux clairement vous dire que cette chanson n’est pas de Blaze, ce n’est même pas proche du style de Blaze, du tout. C’est un ‘schlock bot’ d’IA, si on peut dire ça comme ça», a-t-il lâché à 404 Media, le média qui a révélé la supercherie.

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