Ceci est la traduction adaptée d’un article d'Althea Legaspi, originalement publié par Rolling Stone le 6 décembre 2025. Nous republions l'article originalement intitulé Sean Combs’ Mother Slams ‘Inaccuracies’ in ‘Reckoning’ Doc, Calls Abusive Parent Claims ‘Untrue’ avec la permission de son autrice. Notez que certaines subtilités et nuances peuvent différer de la version originale.
Janice Combs, la mère de Sean Combs alias Diddy, a nié les accusations du docu-série Sean Combs: The Reckoning selon lesquelles elle aurait été une mère abusive, les qualifiant d’«inexactes». Elle conteste également d’autres propos sur leur relation et sur le comportement de son fils à son égard.
Dans un communiqué transmis à Rolling Stone, elle affirme que la série contient «des inexactitudes concernant l’enfance et la vie familiale de mon fils» et que ces distorsions ont été «intentionnellement créées pour tromper les spectateurs et nuire davantage à notre réputation».
«Comme je l’ai déjà affirmé, j’étais une mère célibataire, élevant mon fils, occupant trois et même quatre emplois afin de lui offrir une enfance confortable et une éducation de qualité», précise-t-elle, niant toute forme d’abus. «J’ai élevé Sean avec amour et travail acharné, non avec des abus.»
Elle réfute aussi les propos de Tim Patterson, présenté comme un ami d’enfance de Sean, qualifiant sa description de leur relation de «mensongère et sensationnaliste pour promouvoir la série». Elle ajoute: «Au contraire, j’ai aimé et encouragé Sean. Mes souvenirs de son enfance et de son adolescence sont ceux d’un enfant et adolescent respectueux et appliqué. Sean a toujours été travailleur, ambitieux et performant.»
Janice Combs dénonce également les accusations de Kirk Burrowes, cofondateur de Bad Boy Entertainment avec Sean, qui affirmait que son fils l’aurait giflée. «Les allégations de M. Kirk Burrowes selon lesquelles mon fils m’aurait giflée lors d’une conversation après les tragiques événements du City College le 28 décembre 1991 sont inexactes et absolument fausses», déclare-t-elle. Elle ajoute que l’utilisation de cette tragédie pour «incorporer de faux récits et tenter de s’approprier ce qui ne lui appartenait pas» est «scandaleuse et offensante».
Dans son communiqué, elle rappelle que Sean a été «un fils dévoué», l’aidant dans ses soins médicaux et apportant un soutien financier, et demande que «ces distorsions, mensonges et déclarations trompeuses soient publiquement rectifiés».
En octobre, Sean Combs a été condamné à quatre ans et deux mois de prison pour avoir transporté ses ex-conjointes et des escortes masculins à travers plusieurs États pour des marathons sexuels de plusieurs jours sous l’influence de drogues, appelés «freak-offs». Il fait appel de sa condamnation et de sa peine et son équipe a demandé au président Trump de considérer un pardon.














